Mizu Natako

~Votre personage~


Nom: Natako
Prénom: Mizu
Âge: 16 ans
Race: Moitié humaine-Moitié élémentaire

Description physique: Lorsque l’on voit Mizu, une chose est frappante : ses yeux ! De grands yeux marrons, brillant en toutes circonstances, de ceux-ci émanent une grande douceur et une grande sagesse. Mizu paraît aussi très faible et fragile, le genre de personne dont on a peur pour elle sans même s’en rendre compte. Elle n’est pas très grande, elle est même plus petite que la moyenne avec un visage doux au sourire souvent incertain. Mizu a aussi de longs cheveux châtains qu’elle laisse souvent pendre au gré du vent, parfois elle y ajoute un ruban malhabilement attaché qui semble faire partie de ses cheveux. Elle est aussi extrêmement maigre, on croirait qu’un coup de vent briserait ses os. Généralement, Mizu porte des robes assez fine, parées de rubans, elle porte également un collier avec un pendentif représentant un coquillage, seule chose qu’il lui reste de sa mère.
Description mental: Mizu n’est pas le genre de fille avec qui tout le monde veut être, au contraire, elle qui semble si douce a un cœur de pierre ! Elle ne pleure jamais, ne sourit ou ne rit jamais, semble ne rien n’aimer et ne rien détester, elle n’est jamais perdue dans ses pensées et ne laisse jamais entrevoir aucun sentiment ! Mizu est exactement le genre de personne qu’il ne faut pas voir pour être consolé ou pour se confier, à tord, justement, car elle peut se montrer bonne confidente, très gentille et très douce, mais uniquement si la personne face à elle en a vraiment besoin. Mizu par contre ne se confiera jamais, elle a définitivement perdu foie en l’être humain. Elle croit que celui-ci ne peux qu’être d’un égoïsme sans borne et ne peut que trahir ou corrompre ses semblables.
Histoire: Mizu était vouée à être comme tout le monde, sans histoire, sans passé, vivre juste heureuse auprès de ses parents. Sa mère, Reina, était une femme douce et aimante, son seul grand défaut était d’avoir peur de blesser. Elle était mariée à Koji, un homme merveilleux qu’elle aimait plus que tout au monde. Leur bonheur fut comblé par l’arrivée d’une petite fille, Mizu, Reina était alors sans emploi et, sachant que Koji ne gagnait qu’un maigre salaire, elle se mit à chercher sans relâche un emploi.
Lorsque Mizu eut un an, Reina trouva enfin un emploie, en tant que secrétaire dans une entreprise. Son patron avait l’air d’être un homme bien, personne d’ailleurs n’aurait pu le nier, personne à part la pauvre Reina. Elle était très belle, son patron l’avait bien remarqué. Chaque jour il appelait Reina dans son bureau, la secrétaire redoutait ce moment où, chaque jour, elle allait dans le bureau du si gentil patron…Personne n’en savait rien, elle-même ignorait dans quoi elle serait embarquée la première fois, personne ne trouvait ça louche car personne ne savait, mais chaque jour, c’était dans le grand bureau où elle était appelée qu’elle se faisait violer par un homme dont tant de gens disaient du bien.
Pendant cinq ans, chaque jour, elle devait aller dans le tant redouté bureau. Son patron l’avait mise en grade : si elle disait quoique ce soit, elle serait renvoyée, de plus, la patron lui avait dis avoir de très bons avocats, Reina, Koji et Mizu auraient du en subir les conséquence, alors, chaque jour, même parfois plusieurs fois par jour, Reina souffrait en silence pour sa famille qu’elle aimait tant. Un jour d’été, Mizu était tombée de la balançoire alors que celle-ci était en l’air, par miracle, elle n’eut que la jambe cassée, mais ce jour là, tout s’écroula. Koji avait téléphoné au moins vingt fois sur le téléphone de sa chère Reina, celle-ci n’avait répondu aucune des fois. Il voulait prévenir sa femme de l’accident qu’avait eu leur fille car, sur le coup, ça paraissait grave. Il alla donc à l’entreprise où on lui indiqua la direction à prendre pour trouver le bureau du directeur où il entra, sans frapper, trouvant sa chère Reina avec son patron. Pour lui, il n’y avait qu’une seule explication : Reina le trompait. Il projeta tout d’abord le patron par la fenêtre, fou de rage.
-Koji…
-Reina, tu ne me tromperas pas deux fois…
Il avait prononcé ces mots tout en s’emparent d’un couteau, puis avait approché de sa chère Reina, toujours nue et lui avait planté le couteau dans le cœur avant de se donner la mort. Mizu avait été ramenée chez elle par sa tante, elle savait où sa mère travaillait, elle voulait montrer à ces parents qu’elle allait bien, elle était très débrouillarde, prenant le premier bus allant là où sa mère travaillait, elle avait suivit son père de quelques minutes, se rendant au bureau du patron, sans rien savoir. Elle ne put pas tout voir, mais ce qu’elle vit est inscrit à jamais dans son esprit : sa mère, nue, avec un homme, nu lui aussi, son père, projetant l’homme par la fenêtre, approchant de sa mère avant de la tuer et de se tuer. Elle était comme pétrifiée et poussa juste après un cri strident. Elle du expliquer à de nombreux assistants sociaux son histoire avant d’être placée dans une famille d’accueil. La première chose qu’elle demanda, grossière erreur de sa part, fut de demander ce que faisait sa mère avec l’homme.
-Maman…Elle a eut mal ? Je veux savoir ! Je…Je pourrais jamais comprendre sinon !
Elle n’avait pas demandé ça à un membre de sa famille d’accueil, ils le lui avaient interdit, elle l’avait demandé à un des amis de la famille.
-Je peux te le montrer si tu le veux ?
Mizu accepta, sans la moindre hésitation. L’ami de la famille lui donna un lieu de rendez-vous, la nuit, elle partit vers ce lieu, elle fut emmenée dans une petite maison. Directement, elle demanda à voir, elle voulait comprendre, c’était son seul but. L’homme qui l’avait emmenée là, l’ami de sa famille d’accueil, avait réuni quelques uns de ses propres amis, il avait conduit Mizu à sa chambre où se trouvait un grand lit. La pauvre enfant perdit son innocence, elle voulait savoir ce que sa mère subissait car elle était persuadée que sa mère ne souffrait, à présent, Mizu devait supporter les mêmes choses.
Elle était souvent surveillée, voir tout le temps, mais un jour, ou plutôt une nuit, elle parvint à s’enfuir. Partir ! C’était son seul désire ! Elle avait à présent huit ans, elle était enfin libre ! Sa famille d’accueil n’ayant jamais retrouvé Mizu avaient prétexté une fugue suivie par une noyade ou une chute mortelle, sa vraie famille n’avait que faire d’elle. Après plusieurs d’années à fuir désespérément, elle avait entendu parler d’un portail vers un autre monde, Mizu avait réussi à retrouver son possesseur, elle était entrée chez lui, toujours de nuit, par effraction et, sans aucune hésitation, avait pénétré dans le nouveau monde.
Une fois dans ce monde, elle se découvrit d’étranges facultés qu’elle entraîna très souvent. Là-bas, elle entendit parler d’un lycée, le lycée Daisuke, malgré qu’elle ne connaisse que peu de chose, elle fut acceptée lors de ses seize ans.
Pouvoir: Elle contrôle à la perfection l’eau et le feu, mais n’utilise ce dernier que pour s’entraîner ou en cas de besoin, par contre, elle utilise très souvent l’eau.
Animal de comapanie: ( Facultatif )
Description de l'animal ( Si il y a ): ( 2 lignes minimum )

~Vous~

Prénom:(Facultatif) Mélanie ^^’
Âge: (Facultatif) 14 ans
Phobbies: Les araignées et perdre mes amis…
Hobbies: Ecrire, dessiner, jouer de la flûte,…
Code:(Sans ça je ne peu vous valider)Validé